Faut-il faire des exercices techniques pour progresser en piano

Il est plutôt sain de se poser la question…

Est-ce utile ou est-ce une perte de temps de travailler sa technique sur des exercices ? dans cette vidéo, je réponds à cette question que se posent tous les pianistes un jour ou l’autre.

 

Chaîne intéressante sur le sujet :

Atelier du geste pianistique.

 

 

Faut-il faire des exercices techniques ?

 

 

Bonjour et bienvenue sur le blog Apprendre à jouer du piano.

Je voulais répondre aujourd’hui à des questions régulières que je reçois par e-mail ou dans les commentaires des vidéos ou sous les articles du blog.

 

Souvent on me pose la question :

« Est-ce que c’est utile de faire des exercices ? »

 

Alors c’est une très bonne question comme d’habitude. Et c’est une question qui est délicate et c’est pour ça que j’ai tant tardé à y répondre parce qu’on peut en tirer des conclusions par rapport à ma façon de penser la musique ou ma façon de penser la technique de manière générale.

Donc je vais essayer d’y répondre de manière succincte mais sachez qu’on peut toujours revenir pour préciser ce que je vais dire.

 

 

C’est quoi un exercice ?

Quelque soit le domaine, on isole une formule, on isole un élément d’un sujet et on va s’exercer dessus pour devenir familier avec cet élément.

 

C’est quoi la technique ?

La technique pianistique vise à pouvoir traduire au mieux les œuvres qu’on joue. Donc il faut toujours garder à l’esprit cela.

Qu’est-ce qu’on vise ?

  • On vise un son
  • On vise une impression musicale
  • On vise la musique

Et c’est ça qui est toujours très délicat, c’est comment isoler des choses, comment les prendre à part, comment réfléchir, intellectualiser un élément qu’on n’arrive pas forcément à jouer, sans lui faire perdre de sa saveur.

C’est ça qui est toute la problématique du travail technique ou de l’exercice technique.

Gardez toujours bien ça à l’esprit dans ce que je vais vous dire.

 

D’abord, je vais certainement vous décevoir, je suis ni pour ni contre.

Ça dépend de vous. De vos objectifs. De ce que vous recherchez.

Moi j’ai des périodes où je travaille ma technique de manière isolée, et j’ai des périodes où je ne travaille que des morceaux et je travaille ma technique dans les morceaux.

Il y a des arguments pour et des arguments contre.

 

Petite anecdote pour moi :

J’ai commencé de manière très classique, comme vous maintenant, ce qui me suivent depuis un certain temps le savent, dans les conservatoires. On me faisait travailler le HANON. J’ai commencé l’exercice technique avec le HANON qu’on connait bien, avec :

  • Les gammes
  • Les techniques
  • Les arpèges
  • Les trilles
  • Les octaves
  • Les octaves en gamme

J’avais donc travaillé un petit peu tout ça. Et ce qui s’est passé c’est qu’au début ça ne me dérangeait pas trop, je dirais même que ça m’arrangeait parce que je pouvais faire des formules, je pouvais bouger mes doigts sans forcément savoir lire.

Donc je comprenais la formule et après je le faisais de manière instinctive. Donc c’était très drôle parce que ma mère avait cru que ça me ferait travailler ma lecture et pas du tout. Moi j’étais bien contente « Elle croit que je lis, en fait je lis pas du tout ». Donc je faisais semblant de lire, je regardais, et ma mère disait « C’est bien, tu lis bien ! ». Et je ne lisais rien du tout. Je faisais tout en transposant à l’oreille.

Donc voilà pour la petite anecdote.

Plus tard, ce qui a été délicat pour moi c’est qu’à partir du moment où j’ai commencé à augmenter le temps de travail, ça commençait à devenir compliqué de tout faire.

Je me suis mise à travailler de manière trop automatique et en écoutant rien, et je faisais ça comme on pourrait de la gymnastique sans aucune conscience physique. Je me vidais complètement de ma conscience tactile.

Donc ça c’est une chose sur laquelle je voudrais vraiment attirer votre attention.

Faire des exercices pour faire des exercices en pensant à autre chose, en écoutant rien de ce qu’on fait, juste en bougeant ses doigts et sans comprendre le geste qu’on fait, c’est complètement inutile.

Il vaut mieux faire des morceaux à la place.

Moi pendant toute cette période, il se passait une chose étrange. Plus je jouais, moins j’étais échauffée.

C’est-à-dire plus je me glaçais.

Alors depuis j’ai travaillé un petit peu tout ce qui est énergétique et je me suis rendu compte que quand on se refroidit, c’est que l’énergie s’en va.

Pour moi, faire des exercices ça faisait l’inverse de ce qu’on voulait, c’est-à-dire s’échauffer.

Du coup j’ai complètement laissé tomber aussi pour cette raison-là.

  • Parce que j’avais peu de temps
  • Parce que ça faisait l’inverse de ce que je voulais que ça fasse

 

 

Pourquoi faire des exercices ?

  • En premier, c’est pour s’échauffer, éventuellement quand on a les doigts froids.

Mais il y a plein de façons de s’échauffer. On peut se mettre les mains sur une bouillotte. On peut se mettre les mains sous l’eau chaude. C’est une autre façon de s’échauffer. Alors ça n’échauffe pas de manière profonde mais ça permet d’avoir les mains beaucoup plus chaudes.

Si vous cherchez l’échauffement, est-ce que ça vous chauffe vraiment, est-ce que vous ne pourriez pas faire ça un petit peu plus rapidement peut-être, en vous réchauffant, en vous mettant un gros pull ou en vous mettant les mains sur le radiateur.

 

  • La deuxième chose, qui pour moi est beaucoup plus intéressante, et qui est une des raisons pour lesquelles parfois je propose des exercices, c’est de pouvoir bouger sur le clavier en essayant de comprendre un geste qui va être reproductible dans pleins de morceaux différents.

Et bouger dans un contexte aussi de tonalité. C’est-à-dire sentir et mettre dans sa main les différents claviers qu’on peut avoir par tonalité.

Pour moi il y a 24 claviers. Il n’y a pas un seul clavier. Parce que ça dépend dans quelle tonalité on est.

On peut avoir des mouvements qui sont différents en fonction des tonalités dans lesquelles on a les morceaux.

Ça permet donc de travailler, d’isoler, comme tout exercice, un élément physique qu’on a du mal à appréhender dans les morceaux, et en plus de le multiplier à l’infini dans tous les morceaux. Ça permet de faire un raccourci, c’est-à-dire qu’une fois que vous avez compris les gammes par exemple, dans tous les morceaux dans lesquels vous aurez des gammes vous pouvez gagner du temps.

Une fois que vous avez compris le geste de l’octave répétée, vous pouvez, dans tous les morceaux dans lesquels il y aura des octaves répétées, gagner du temps et savoir que ça c’est une octave répétée.

Donc ça permet de prendre des raccourcis. De gagner du temps.

 

 

C’est quoi les exercices d’une manière générale ?

Il y a :

  • Les gammes
  • Les arpèges
  • Les doubles notes
  • Les tierces
  • Les sixtes
  • Les sixtes à une main
  • Les gammes par tierces
  • Les gammes par sixte
  • Les octaves
  • En gamme
  • En arpège
  • Les trilles
  • Les trémolos
  • Le Hanon
  • Le Déliateur
  • Philipp
  • Dohnanyi

Tous ces exercices-là sont ni bons ni mauvais. C’est juste savoir ce que vous cherchez. Quel est votre but en travaillant ces exercices ?

Si c’est juste pour vous exercer mais vous exercer dans l’absolu, pour moi ça ne sert à rien.

Est-ce que vous cherchez :

  • Un délié
  • De l’indépendance
  • A vous adapter à une tonalité

Il y a toujours besoin d’un but.

 

Je vais quand même préciser une chose pour tout ce qui est Hanon, Déliateur, toute cette période où on a fait des exercices qui étaient essentiellement en do majeur.

Attention, ils ne sont bon, à mon avis en tout cas, que si vous les transposez dans d’autres tonalités.

Ne les laissez pas en do majeur, c’est vraiment bête, c’est même néfaste parce que vous allez apprendre à rester uniquement sur le bord des touches en do majeur. Et do majeur dans les morceaux, dans le répertoire, on doit bien être dans les 5% et encore. Même dans les morceaux en do majeur vous passez régulièrement en sol majeur, en fa majeur, donc dans d’autres tonalités.

Rester pendant des mois et des mois sur des exercices en do majeur, alors là, oubliez. Mais vraiment oubliez s’il vous plait. Parce que là c’est tout à fait néfaste.

Vous n’apprenez pas du tout les gestes d’avancée dans le clavier au niveau des touches noires, les gestes de préparation des touches noires. Vous apprenez des mauvaises positions.

 

Il existe aussi les études :

  • Czerny

J’en utilise certains parce que je les aime bien musicalement tout simplement.

  • Moszkowski

Ceux-là sont plus avancés.

  • Burgmüller

J’aime plus ceux-là.

J’utilise environ 5% de chaque méthode, de chaque livret.

 

Il existe aussi des exercices :

  • Brahms

Les exercices sont intéressants aussi.

  • Dohnanyi

Je les aime beaucoup parce qu’il y en a beaucoup de biens.

  • Philipp

Il y a pas mal d’exercices d’indépendance des doigts.

 

Qu’est-ce que vous cherchez ? Toujours pareil. Quel est le but derrière ?

Ne prenez pas, parce que je vous ai fait une liste, tel ou tel exercice en disant « Elle a dit que c’était bien, on y va ». Non non.

Qu’est-ce que vous cherchez ?

 

Et en dehors des études, quoi de mieux que la musique pour travailler sa technique.

Vous avez tout ce qui est :

  • Musique baroque
  • Musique classique

Vous avez énormément de gammes, d’arpèges, des formules qui reviennent beaucoup. Donc travaillez vos techniques dedans.

  • Les inventions de Bach, quoi de mieux pour travailler le légato ou le perlé.
  • Quoi de mieux d’une Etude de Chopin pour travailler le phrasé.

Parce que la technique c’est quoi ?

En quoi travailler son phrasé c’est pas de la technique ? Et bien si. C’est une technique. Vous apprenez un geste pour pouvoir traduire un phrasé. Donc c’est aussi de la technique ça.

Ne restez pas uniquement à l’exercice des doigts. Non.

 

Ça me fait penser du coup à comment le faire.

Il y a une chose qui pour moi est une évidence, ne le faites pas de manière sourde, c’est-à-dire sans écouter ce que vous faites et en jouant fort.

L’exercice n’est pas forcément à jouer forté en se bouchant les oreilles parce que c’est moche. Non.

Ecoutez.

Si vous faites le premier exercice que j’avais travaillé avec Nathalie Tagrine, elle le faisait travailler comme si on faisait des vocalises. C’est tout à fait ça.

Vous pouvez le faire avec des rythmes et des ponctuations différentes. Amusez-vous avec ça. Mais soyez actif et cherchez un son particulier.

N’oubliez pas aussi que si c’est un élément physique que vous voulez travailler, une certaine souplesse, ou la position même, vous pouvez aussi travailler en dehors du piano des exercices qui sont purement physiques.

Vous voulez prendre conscience de vos épaules, travaillez vos épaules. C’est de la technique ça aussi.

Vous voulez travailler la souplesse du poignet, vous cherchez des exercices pour la souplesse du poignet, sur YouTube ou autre plateforme.

Vous voulez travailler l’articulation du doigt, il y a des exercices comme je vous ai mis sur ma chaine qui sont préparatoires.

 

Dès que vous êtes au piano, cherchez un son particulier. Variez les nuances. Variez les articulations. Pour que ce soit le plus possible tiré vers la musique.

Et surtout, je vous le rappelle, ne jouez pas trop fort.

C’est tout à fait utile de travailler des exercices pianissimo en faisant crescendo. C’est difficile de jouer piano. Ça aussi c’est de la technique.

Vous voyez c’est inégal ce que je fais.

 

 

C’est important, toujours, de chercher un son, de chercher à apprendre quelque chose. Vous n’êtes pas en train de penser au poulet qui est en train de cuire.

 

Il faut être bien guidé par rapport aux différentes formules qui existent de l’écriture pianistique. Il faut être informé sur le geste à faire pour telle ou telle situation. D’accord ?

Il y a beaucoup de choses qui pourraient être évitées, de blessures ou de douleurs qui pourraient être évitées tout simplement en étant bien informé sur le geste à produire pour faire telle ou telle formule.

 

 

Donc là je vous invite à vous rapprocher de vos professeurs respectifs ou de lire des livres, ou de regarder des chaines intéressantes sur le sujet.

Je vous mettrais éventuellement des liens en-dessous. Cherchez sur le blog, je vous mets souvent, quand j’ai des personnes que je trouve intéressantes, des liens sur le blog.

 

 

Moi personnellement j’aime bien travailler les gammes parce que je trouve que finalement c’est toujours la base. Et s’il y a qu’un seul exercice à garder c’est quand même bien celui-là.

Je l’ai fait tout le temps de manière différente. J’essaie de fuir la routine. Un jour je vais les faire en crescendo. Le lendemain je vais les faire en descendant et en remontant au lieu de monter et descendre. Je vais varier les mouvements, comme mouvement contraire. Je vais varier énormément les différentes dispositions et les différentes façons de les jouer.

Et il m’arrive tout à fait de mixer improvisation et exercices.

C’est-à-dire que si je veux travailler les tierces, ça peut m’arriver, j’étais sur mi bémol mineur… ce n’est pas du tout de la musique, ce n’est pas bien écrit, mais c’est juste que j’essaie de créer quelque chose, de faire autre chose à la main droite, je fais des sixtes. Je m’amuse un petit peu et je cherche un son particulier.

Je mixe improvisation, je m’amuse avec les différentes caractéristiques musicales qui peuvent exister dans les morceaux.

 

 

Petit cas particulier

Si vous êtes débutant, l’exercice pour le débutant apporte un intérêt certain, c’est que si vous arrivez à avoir une bonne mémoire gestuelle, vous pouvez assez vite travailler la vitesse sans forcément savoir lire.

Comme je vous le disais tout à l’heure pour moi, effectivement l’exercice comme Hanon ou Déliateur peuvent vous permettre de commencer à travailler un petit peu dans la vitesse mais des formules qui se répètent.

C’est compliqué de travailler la vitesse tout de suite sur les morceaux, parce que vous avez le frein qui est le déchiffrage.

Pour les débutants je trouve que c’est pas mal d’en avoir 2 ou 3 et de rouler dessus pour que vos doigts fonctionnent et commencent à prendre l’habitude d’articuler, de fonctionner un petit peu plus rapidement que sur un morceau que vous êtes en train de travailler.

 

Si ça vous barbe prodigieusement, que vous ne voyez absolument pas l’intérêt, que vous n’êtes pas guidé pour le faire, ne le faites pas.

Faites-le que quand vous voyez un intérêt.

Moi je pense que quand même dans les premières années l’urgence est d’apprendre comment est faite la musique, ce qu’est une tonalité, ce qu’est un accord, ce qu’est une tierce, ce qu’est une sixte. Passez plutôt du temps dessus si vraiment vous ne voyez pas l’intérêt de l’exercice et que vous n’êtes pas guidé pour ça, penchez-vous plutôt, achetez les livres ou des méthodes pour ça. Penchez-vous plutôt sur comment est faite la musique, ouvrez vos oreilles, travaillez vos oreilles.

C’est quand même bien plus important au départ. Il y a beaucoup de choses à connaitre. Travaillez vos morceaux, beaucoup de morceaux, c’est beaucoup plus utile que de passer une demi-heure vos exercices mais quel dommage ! Vous perdez plein de temps. Cette demi-heure-là vous l’auriez utilisé pour apprendre la musique, des choses qui sont beaucoup plus enthousiasmantes au début.

 

Et après éventuellement vous reviendrez justement sur ces éléments-là que vous avez appris. Maintenant que vous connaissez par exemple le mode majeur, pourquoi pas travailler les gammes majeures.

A mon sens c’est plus intéressant de passer par là.

 

N’oubliez pas que la musique c’est la créativité, c’est former son oreille. Un musicien en premier doit former son oreille.

Ne perdez pas ça de vue.

Bien sûr qu’il faut travailler sa technique. Nous avons un répertoire absolument gigantesque, d’une variété extraordinaire, pourquoi ne pas en profiter pour travailler dans les œuvres tous ces éléments-là.

Et si vous sentez qu’il y a quelque chose qui accroche, demandez-vous si vous connaissez bien le geste qu’il faut faire, et si vous le connaissez bien, vous allez de vous-même voir l’intérêt de travailler une gamme si dans telle ou telle œuvre de Chopin vous voyez des gammes que vous n’arrivez pas à faire.

Là travaillez les gammes.

A ce moment-là vous allez voir de vous-même l’intérêt. Donc c’est beaucoup plus intéressant.

 

 

 

Si cette vidéo vous a plu, partagez-là sur les réseaux sociaux. Et n’oubliez pas qu’il vaut mieux faire beaucoup de piano que de trainer sur les réseaux sociaux.

 

Au revoir ! Et à bientôt sur le blog !

 

Bon piano !

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12 commentaires

  1. Bonjour

    J’apprécie vos différents articles et particulièrement ce thème de la technique. Ceci m’amène à me poser la question suivante :
    Parmi la liste des études que vous énoncez, en existe t-il qui regroupent les différentes techniques et proposent des exercices de façon thématique ? c’est à dire par exemple :
    partie 1 : Les gammes
    partie 2 : Les arpèges
    partie 3 : Les doubles notes
    partie 4 : Les tierces
    partie 5 : Les sixtes
    partie 6 : Les sixtes à une main
    etc

    J’ai l’impression qu’il faudrait acquérir toutes les méthodes pour pouvoir piocher dans chacune d’entre elles les exercices qui vont bien . Et « savoir piocher » requiert déjà un certain niveau de compétences …

    Olivier

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  2. bonjour j’aime bien toutes vos vidéos, je suis pianiste débutant mais pas musicien débutant, je joue du clavier arrangeur depuis longtemps, donc la main droite n’est pas un problème, main la main gauche c’est autre chose, donc pour moi le « hanon » m’est quand même utile.concernant les gammes faut il travailler toutes les tonalités d’abord en gammes simples, ou bien explorer de suite les tierces ou autres dans une seule tonalité et passer ensuite à une autre tonalité.merci.

    Répondre
    1. Bonjour Bernard.
      Oui explorez d’abord toutes les tonalités en gammes simples. Puis vous passez aux autres formules de travail technique.
      Si vous sentez que le Hanon est bon pour vous, faites-vous confiance. Mais n’oubliez pas de varier les tonalités.

      Répondre
      1. merci pour votre réponse, j’étais parti sur une seule gamme et sa relative, en tierces etc…

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  3. Excellente video sur l’utilité des exercices. J’adore votre charisme et je partage parfaitement votre point de vue. Un très bon moment visionné.

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    1. Merci Thierry !

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  4. Excellent, ça me donne des idées pour varier les plaisirs!
    Je me réjouis déjà de mettre un peu de couleur à mes exercices que sont les gammes et les arpèges !
    Merci beaucoup Marie-Cécile

    Répondre
    1. Avec plaisir Sophie ! A bientôt !

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  5. Merci pour tous ces conseils astucieux,
    Par pėriode j’adore les exos techniques: gammes, arpèges, tierces, suite d’accords, ça aide la tête et les doigts å prendre possession du clavier,å son rythme, sans stress, en s’arrangeant quelques gammes pour varier les plaisirs… mais je suis encore une « dėbutante » (3 ans de piano,!) pour un certain temps, je pense! Le travail technique sur les morceaux est plus passionnant, c’est vrai, parcequ’on y met plus d’affect, mais les deux sont indispensables, je trouve!

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    1. Ecoutez vos envie Jacqueline ! Et si vous faites plutôt ça par période, c’est bien aussi.

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  6. Merci beaucoup. Je suis professeur de piano et je suis totalement d’accord avec vous. Personnellement, j’adore les exercices notamment les Czerny qui sont intéressants. Par contre je ne les impose pas à mes élèves.
    A une prochaine fois pour une nouvelle vidéo.

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    1. Merci Cathy ! Contente de votre commentaire chère collègue. 🙂

      Répondre

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